Nous en savons déjà beaucoup sur les avantages de travailler avec les plantes.
Il a été démontré à maintes reprises que le jardinage aide à améliorer l'humeur, par exemple, il y a juste quelque chose à propos de travailler avec des plantes, saleté, l'eau, engrais, et le reste qui semble nous donner un coup de pouce. Une nouvelle étude examine quelque chose de plus spécifique :travailler avec des plantes peut-il aider les personnes reconnues coupables de crimes à retourner en détention ?
L'étude, publié dans le journal de l'American Society for Horticultural Science, examine le service communautaire horticole et son incidence sur les taux de récidive—si les personnes libérées de prison sont finalement condamnées à nouveau. L'idée d'utiliser une certaine forme d'agriculture dans les prisons et les prisons a été utilisée pendant un certain temps; Prison d'État de San Quentin en Californie, par exemple, a un programme vieux de plusieurs décennies qui comprend le jardinage ainsi que des cours sur la propagation des plantes, conception, budgétisation, et plus.
La nouvelle étude a porté spécifiquement sur le comté de Hays, Texas, maison de la ville d'Austin. Il a révélé qu'environ la moitié des agences de services communautaires pour les personnes reconnues coupables de crimes offraient une sorte d'option horticole ou agricole. Ce ne sont pas des programmes de jardinage biologique, d'habitude; ils ressemblent plus au désherbage, ratisser les feuilles, tondre la pelouse, et le paillage.
Il a constaté que littéralement n'importe quel service communautaire semblait contribuer considérablement aux taux de récidive. Les programmes de service communautaire dans des environnements extérieurs semblaient être plus utiles que les programmes intérieurs. Mais les programmes de service communautaire à base de plantes ont été incroyablement utiles, bien plus que les programmes de services communautaires non horticoles. L'étude a également corrigé de nombreuses variables qui pourraient perturber une étude comme celle-ci :type de crime, âge, genre, d'autres détails démographiques.
La récidive n'est pas un concept simple; les taux d'incarcération dans leur ensemble ne sont pas largement représentatifs des crimes commis ou de la population d'une région. Mais l'étude fait de son mieux pour contrôler ces problèmes, et constate que le travail avec les plantes pourrait être un outil précieux dans les mesures préventives.